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查看翻译Statuette Mayombé - 小雕像 - Mayombé - 刚果民主共和国 (没有保留价)
编号 89210081
Statuette maternité Mayombé en bois de la RDC en Afrique centrale ayant pour hauteur 30 cm, pour largeur 11 cm et pour épaisseur 10 cm. IL pèse environ 1 kg. Le mode d'expédition est colissimo.
Les statues de "maternité" du Mayombe et de la région côtière du pays Kongo sont très appréciées dans l'art africain. Elles sont populaires grâce à leur thème universel, leur réalisme et leur grande qualité artistique.
Ces statues sont appelées Pfemba ou Phemba.
Elles étaient utilisées dans un culte de fertilité féminine, dirigé par une sage-femme.
On y voit souvent des femmes en train d'allaiter.
Selon Lehuard (page 121 de "La maternité dans l'Afrique noire" publié par G. Massa aux éditions Sépia), les enfants avec des jambes droites sont morts, tandis que ceux avec les jambes pliées aux genoux sont vivants. La statue représente une femme, souvent l'épouse d’un chef, qui présente à son mari leur premier enfant, qu'il soit vivant ou mort-né, ou qui serait décédé peu après sa naissance.
Marc Léo Félix, dans son livre "Kongo" (page 85), explique que ces statues peuvent représenter la fondatrice du clan ou une femme chef. Ces objets appartenaient au chef.
D'autres sources indiquent que ces statues étaient utilisées avec une pâte rouge à base de plantes. Cela servait de lien entre les moments de la naissance et de la mort.
Statuette maternité Mayombé en bois de la RDC en Afrique centrale ayant pour hauteur 30 cm, pour largeur 11 cm et pour épaisseur 10 cm. IL pèse environ 1 kg. Le mode d'expédition est colissimo.
Les statues de "maternité" du Mayombe et de la région côtière du pays Kongo sont très appréciées dans l'art africain. Elles sont populaires grâce à leur thème universel, leur réalisme et leur grande qualité artistique.
Ces statues sont appelées Pfemba ou Phemba.
Elles étaient utilisées dans un culte de fertilité féminine, dirigé par une sage-femme.
On y voit souvent des femmes en train d'allaiter.
Selon Lehuard (page 121 de "La maternité dans l'Afrique noire" publié par G. Massa aux éditions Sépia), les enfants avec des jambes droites sont morts, tandis que ceux avec les jambes pliées aux genoux sont vivants. La statue représente une femme, souvent l'épouse d’un chef, qui présente à son mari leur premier enfant, qu'il soit vivant ou mort-né, ou qui serait décédé peu après sa naissance.
Marc Léo Félix, dans son livre "Kongo" (page 85), explique que ces statues peuvent représenter la fondatrice du clan ou une femme chef. Ces objets appartenaient au chef.
D'autres sources indiquent que ces statues étaient utilisées avec une pâte rouge à base de plantes. Cela servait de lien entre les moments de la naissance et de la mort.