Encre représentant Un déjeuner sur l'herbe signée

Henry SIMON (1910-1987)

Henry Simon né à Saint-Hilaire-de-Riez (Vendée) le 28 décembre 1910 et mort dans la même ville le 27 février 1987 est un peintre, céramiste et décorateur français.

Un film "Henry Simon, l'Homme et son Oeuvre" a été réalisé après son décès, à l'aide de ses entretiens enregistrés avec Gaston Herbreteau et Jacques Baud. Il a été tourné dans son atelier localisé dans sa maison "Notre Dame du Marais" à Saint-Hilaire-de-Riez.

Biographie
Henry Simon naît à Saint-Hilaire-de-Riez le 28 décembre 1910. Son père, instituteur, meurt deux ans plus tard. Il a deux frères : René, l’aîné, qui deviendra instituteur et André, le cadet, qui sera professeur d’anglais et traducteur. L’école sera le domaine de son enfance, sa mère étant institutrice, directrice de l’école publique de Saint-Hilaire-de-Riez. Tandis que celle-ci occupe ses loisirs à peindre, Henry Simon montre de réelles dispositions pour le dessin : la caricature de son instituteur lui assure le succès auprès de ses petits camarades. Il est encouragé dans cette voie à l'école primaire, puis au collège de Fontenay-le-Comte où son professeur l'initie au dessin classique. Issu d’un milieu laïque, il est conquis par un portrait de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus exposé dans une vitrine fontenaysienne et œuvre de son professeur de dessin M.Carriat. Ce dernier lui obtient l’autorisation de passer son temps de récréation dans la salle des plâtres où il croque les figures antiques. Il y rencontre Roger Allaud, aquarelliste.


Admis à l'École des beaux-arts de Nantes en 1928, il a comme professeurs Émile Simon, Alexis Lesage et Patay. Il expose pour la première fois en 1929 à Poitiers et effectue sa première exposition particulière dans cette même ville, en mai 1929. Il reçoit, en 1930, le prix Decré attribué annuellement à un jeune artiste pour son oeuvre "Vocation" représentant son frère André en officier de marine.


En 1932, il entre à l'École des beaux-arts de Paris, dans la classe de Lucien Simon 1. Il obtient le prix Conté destiné à un élève de l'École. Dans la capitale, il fréquente de nombreux ateliers (Fougerat, Troncet et Cannictioni). Il participe à son premier salon d'automne. Il rédige un article et donne une conférence sur Charles Milcendeau à l'intisgation de Paul Devigne qui lui consacrera des articles dans Le Phare de Loire-Atlantique et de Vendée. « Ma vision picturale est née de mon Pays ; pour le chanter, je n'ai qu'à regarder en moi. J'ai eu la chance d'être de la génération à laquelle Charles Milcendeau a ouvert la voie. »2.


De retour en Vendée, en 1934, il se consacre à la peinture à la villa Krüger. Là, il rencontre Jean Launois et adhère au groupe de peintres de Saint-Jean-de-Monts. Ces peintres se réunissent très souvent soit chez le restaurateur Armand Lainé ou l'hôtelier Jean Guériteau (ce que les historiens locaux ont dénommé Le Groupe de Saint-Jean-de-Monts) 3.

Il se convertit au catholicisme et se fait baptiser par le vicaire général Braud dans la chapelle du collège Saint Stanislas (Poitiers) en 1935.

En 1937, Henry Simon réalise avec Jean Launois une fresque de 36 m² pour le pavillon du Poitou à l’Exposition universelle de Paris. Cette période des années 30 est marquée par une inspiration typiquement locale où les sujets campagnards du marais de Monts sont repris dans la tradition de Charles Milcendeau qu'il vient de découvrir, mais avec une certaine liberté dans le dessin qui s'éloigne du classicisme typiquement français de Milcendeau sous l'influence de Launois, avec une certaine liberté dans le dessin qui s'éloigne du classicisme typiquement français de Milcendeau.


En 1939, il est mobilisé puis, en 1940, fait prisonnier à Dunkerque et transféré dans le Stalag I-B (en) de Prusse orientale4. Là bas, il se lie d'amitié avec Charles-Émile Pinson, prix de Rome de gravure. Il continue à dessiner selon ses possibilités. « J'ai été, à cette époque, bouleversé par la matière à traduire. Personne ne pouvait jouer la comédie. Cette nature nue était, pour les peintres, une expérience formidable, une immense leçon. »2, dit-il.

À son retour, il réalise un album, Compagnons de Silence, regroupant 20 aquarelles de captivité issues des dessins (environ 500) qu'il avait réalisés pendant sa captivité au Stalag I-B, en collaboration avec son frère André, auteur du texte5. Ses moyens financiers d'alors ne lui permirent pas de l'éditer. Il sera publié à titre posthume en 1992, d'abord en format vidéo en seconde partie du film Henry Simon, l'Homme et son Œuvre6 réalisé par Michel Bonne, puis publié en 20055 et distribué dans le circuit des livres d'art. Lors de la création du musée interactif du camp de prisonniers Stalag I-B et de l'histoire d'Olsztynek qui a été inauguré en 2015, deux œuvres d'Henry Simon ont été retenues7.

Ce n'est qu'en 1945 qu'il reprend le rythme de ses expositions d'avant la guerre. Durablement Henry s’oriente aussi vers de grands travaux de décoration d’édifices publics.


En 1950, il se marie avec Monique et, la même année, fait un voyage en Algérie, à Kouba. « Si je suis allé en Algérie, c’est précisément parce que je sentais le besoin de confirmer mes recherches de couleur. Je cherchais la joie. Je l’ai trouvée en Vendée à travers une mélancolie latente, ce voile léger qui tamise les violences du soleil, adoucit les expressions truculentes. Je l'ai retrouvée en Algérie, plus éclatante certes, mais discrète encore grâce aux nuances des blancs. »2 . Monique et lui auront huit enfants.

De 1950 à 1960, Henry Simon réalise des travaux de décoration d'édifices publics : fresques du casino municipal des Sables-d'Olonne, peintures du casino La Pastourelle de Saint-Jean-de-Monts. C'est en 1954 qu'Henry fait construire une bourrine "Les Rimajures", un atelier-galerie qui abritera ses peintures et poteries. La bourrine, renovée est aujourd'hui est un lieu d'échanges nommé "Atelier Henry Simon - les Rimajures " [archive] 8. C'est un lieu culturel constitué d'un espace d'exposition permanent: l'atelier de l'artiste reconstitué accompagné de certaines oeuvres marquantes dont "Mon huitième", un lieu d'exposition temporaire, un centre de ressources consacré à l'art et un lieu de création qui accueillera un artiste différent chaque année9,10.

La décennie achevée, Henry se tourne vers des thèmes bien précis : l’eau, la jeunesse, les gens du marais vendéen et de la mer… qu’il installe dans le mouvement et la lumière, toujours de façon expressive et poétique. Sur le thème de l’eau, Henry Simon écrit : « J'ai pris conscience de l'importance de l’élément liquide au point de vue pictural. L’eau est un véhicule plastique qui se modifie à tout instant et permet mille visions différentes dans le minimum de temps. »2. En 1959 importante exposition sur le thème de l'eau présentée à Nantes, Bordeaux et Paris. Il se rapproche de la peinture abstraite.


En 1960, Monique et Henry s’installent dans la maison familiale à Saint-Hilaire-de-Riez qu’ils nomment "Notre-Dame-des-Marais". Dans les années 1965-68 ils y installeront leur second four pour les céramiques. Dans cette maison familiale, Henry a fait construire son atelier d’artiste qui l'accompagnera toute sa vie. Depuis 1960, l'artiste travaille sur des thèmes variés : scènes régionales, marins, jeunesse, cirque, danse, jeux, musique, thèmes aquatiques, déjeuners sur l’herbe, croyance, portraits qu'il traite au fusain, au pastel, à l’aquarelle, à la gouache ou à l'huile.


En 1968, il expose au Salon des peintres témoins de leur temps. Sa toile Mon huitième [archive], tableau familial d'une composition sereine et très colorée, est très remarquée. L’année suivante Henry illustrera Le Petit Chose, d’Alphonse Daudet (Ed. P. Fanlac, 1969) 11 à la demande des Œuvres des pupilles de l’enseignement public. Cette année verra aussi le début de son travail d'initiateur et d'organisateur de salons de peinture (triade 68).

Une première rétrospective de son œuvre est organisée en 1971 au musée municipal des Sables-d'Olonne.


Il est nommé chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres en 1976 12. Pendant plusieurs années, il sera l'organisateur de ce salon avec François Villatte. Le prix Charles Milcendeau lui est décerné en 1978 et, cette même année, une deuxième rétrospective lui est consacrée au palais des Congrès de Saint-Jean-de-Monts.


De 1980 à 1982, à la demande du maire de Saint-Hilaire-de-Riez (Vendée), Henry réalise six grandes toiles qui parent les murs de l’église.

Henry Simon meurt le 27 février 1987 à Saint-Hilaire-de-Riez. Il laisse une œuvre féconde et authentique, souvent inondée de lumière et imprégnée de bonheur.


Dimensions: sans cadre : 48 cm x 62 cm
avec cadre 75 cm x 87 cm

Elle est signée en bas à droite et doit dater des années 1910-1920.
et présentée sous verre

.
Résultats d'adjudication de Henry SIMON en Dessin-Aquarelle :

la remise des charrettes
La remise des charrettes
Aquarelle
49 x 64 cm
Estimation: 1 000 € - 1 500 €
Prix au marteau: 3 100 €
10/12/2005
Kaczorowski (S.V.V.)
+ d'infos (lot n° 243)

Pas d'image

Le port de Saint Gilles
Aquarelle, gouache/papier
50 x 65 cm
Prix au marteau: 1 800 €
17/04/2009
SARL GIRARDOT
+ d'infos (lot n° 197)

Pas d'image

Demoiselle d'Apremont
Aquarelle/papier
49 x 64 cm
Prix au marteau: 1 677 €
17/03/2000
Raynaud
+ d'infos (lot n° 108)

Pas d'image

Intérieur vendéen
Aquarelle, gouache/papier
48,5 x 53 cm
Prix au marteau: 1 450 €
20/06/2002
Kaczorowski
+ d'infos (lot n° 49)

Encre représentant Un déjeuner sur l'herbe signée

Henry SIMON (1910-1987)

Henry Simon né à Saint-Hilaire-de-Riez (Vendée) le 28 décembre 1910 et mort dans la même ville le 27 février 1987 est un peintre, céramiste et décorateur français.

Un film "Henry Simon, l'Homme et son Oeuvre" a été réalisé après son décès, à l'aide de ses entretiens enregistrés avec Gaston Herbreteau et Jacques Baud. Il a été tourné dans son atelier localisé dans sa maison "Notre Dame du Marais" à Saint-Hilaire-de-Riez.

Biographie
Henry Simon naît à Saint-Hilaire-de-Riez le 28 décembre 1910. Son père, instituteur, meurt deux ans plus tard. Il a deux frères : René, l’aîné, qui deviendra instituteur et André, le cadet, qui sera professeur d’anglais et traducteur. L’école sera le domaine de son enfance, sa mère étant institutrice, directrice de l’école publique de Saint-Hilaire-de-Riez. Tandis que celle-ci occupe ses loisirs à peindre, Henry Simon montre de réelles dispositions pour le dessin : la caricature de son instituteur lui assure le succès auprès de ses petits camarades. Il est encouragé dans cette voie à l'école primaire, puis au collège de Fontenay-le-Comte où son professeur l'initie au dessin classique. Issu d’un milieu laïque, il est conquis par un portrait de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus exposé dans une vitrine fontenaysienne et œuvre de son professeur de dessin M.Carriat. Ce dernier lui obtient l’autorisation de passer son temps de récréation dans la salle des plâtres où il croque les figures antiques. Il y rencontre Roger Allaud, aquarelliste.


Admis à l'École des beaux-arts de Nantes en 1928, il a comme professeurs Émile Simon, Alexis Lesage et Patay. Il expose pour la première fois en 1929 à Poitiers et effectue sa première exposition particulière dans cette même ville, en mai 1929. Il reçoit, en 1930, le prix Decré attribué annuellement à un jeune artiste pour son oeuvre "Vocation" représentant son frère André en officier de marine.


En 1932, il entre à l'École des beaux-arts de Paris, dans la classe de Lucien Simon 1. Il obtient le prix Conté destiné à un élève de l'École. Dans la capitale, il fréquente de nombreux ateliers (Fougerat, Troncet et Cannictioni). Il participe à son premier salon d'automne. Il rédige un article et donne une conférence sur Charles Milcendeau à l'intisgation de Paul Devigne qui lui consacrera des articles dans Le Phare de Loire-Atlantique et de Vendée. « Ma vision picturale est née de mon Pays ; pour le chanter, je n'ai qu'à regarder en moi. J'ai eu la chance d'être de la génération à laquelle Charles Milcendeau a ouvert la voie. »2.


De retour en Vendée, en 1934, il se consacre à la peinture à la villa Krüger. Là, il rencontre Jean Launois et adhère au groupe de peintres de Saint-Jean-de-Monts. Ces peintres se réunissent très souvent soit chez le restaurateur Armand Lainé ou l'hôtelier Jean Guériteau (ce que les historiens locaux ont dénommé Le Groupe de Saint-Jean-de-Monts) 3.

Il se convertit au catholicisme et se fait baptiser par le vicaire général Braud dans la chapelle du collège Saint Stanislas (Poitiers) en 1935.

En 1937, Henry Simon réalise avec Jean Launois une fresque de 36 m² pour le pavillon du Poitou à l’Exposition universelle de Paris. Cette période des années 30 est marquée par une inspiration typiquement locale où les sujets campagnards du marais de Monts sont repris dans la tradition de Charles Milcendeau qu'il vient de découvrir, mais avec une certaine liberté dans le dessin qui s'éloigne du classicisme typiquement français de Milcendeau sous l'influence de Launois, avec une certaine liberté dans le dessin qui s'éloigne du classicisme typiquement français de Milcendeau.


En 1939, il est mobilisé puis, en 1940, fait prisonnier à Dunkerque et transféré dans le Stalag I-B (en) de Prusse orientale4. Là bas, il se lie d'amitié avec Charles-Émile Pinson, prix de Rome de gravure. Il continue à dessiner selon ses possibilités. « J'ai été, à cette époque, bouleversé par la matière à traduire. Personne ne pouvait jouer la comédie. Cette nature nue était, pour les peintres, une expérience formidable, une immense leçon. »2, dit-il.

À son retour, il réalise un album, Compagnons de Silence, regroupant 20 aquarelles de captivité issues des dessins (environ 500) qu'il avait réalisés pendant sa captivité au Stalag I-B, en collaboration avec son frère André, auteur du texte5. Ses moyens financiers d'alors ne lui permirent pas de l'éditer. Il sera publié à titre posthume en 1992, d'abord en format vidéo en seconde partie du film Henry Simon, l'Homme et son Œuvre6 réalisé par Michel Bonne, puis publié en 20055 et distribué dans le circuit des livres d'art. Lors de la création du musée interactif du camp de prisonniers Stalag I-B et de l'histoire d'Olsztynek qui a été inauguré en 2015, deux œuvres d'Henry Simon ont été retenues7.

Ce n'est qu'en 1945 qu'il reprend le rythme de ses expositions d'avant la guerre. Durablement Henry s’oriente aussi vers de grands travaux de décoration d’édifices publics.


En 1950, il se marie avec Monique et, la même année, fait un voyage en Algérie, à Kouba. « Si je suis allé en Algérie, c’est précisément parce que je sentais le besoin de confirmer mes recherches de couleur. Je cherchais la joie. Je l’ai trouvée en Vendée à travers une mélancolie latente, ce voile léger qui tamise les violences du soleil, adoucit les expressions truculentes. Je l'ai retrouvée en Algérie, plus éclatante certes, mais discrète encore grâce aux nuances des blancs. »2 . Monique et lui auront huit enfants.

De 1950 à 1960, Henry Simon réalise des travaux de décoration d'édifices publics : fresques du casino municipal des Sables-d'Olonne, peintures du casino La Pastourelle de Saint-Jean-de-Monts. C'est en 1954 qu'Henry fait construire une bourrine "Les Rimajures", un atelier-galerie qui abritera ses peintures et poteries. La bourrine, renovée est aujourd'hui est un lieu d'échanges nommé "Atelier Henry Simon - les Rimajures " [archive] 8. C'est un lieu culturel constitué d'un espace d'exposition permanent: l'atelier de l'artiste reconstitué accompagné de certaines oeuvres marquantes dont "Mon huitième", un lieu d'exposition temporaire, un centre de ressources consacré à l'art et un lieu de création qui accueillera un artiste différent chaque année9,10.

La décennie achevée, Henry se tourne vers des thèmes bien précis : l’eau, la jeunesse, les gens du marais vendéen et de la mer… qu’il installe dans le mouvement et la lumière, toujours de façon expressive et poétique. Sur le thème de l’eau, Henry Simon écrit : « J'ai pris conscience de l'importance de l’élément liquide au point de vue pictural. L’eau est un véhicule plastique qui se modifie à tout instant et permet mille visions différentes dans le minimum de temps. »2. En 1959 importante exposition sur le thème de l'eau présentée à Nantes, Bordeaux et Paris. Il se rapproche de la peinture abstraite.


En 1960, Monique et Henry s’installent dans la maison familiale à Saint-Hilaire-de-Riez qu’ils nomment "Notre-Dame-des-Marais". Dans les années 1965-68 ils y installeront leur second four pour les céramiques. Dans cette maison familiale, Henry a fait construire son atelier d’artiste qui l'accompagnera toute sa vie. Depuis 1960, l'artiste travaille sur des thèmes variés : scènes régionales, marins, jeunesse, cirque, danse, jeux, musique, thèmes aquatiques, déjeuners sur l’herbe, croyance, portraits qu'il traite au fusain, au pastel, à l’aquarelle, à la gouache ou à l'huile.


En 1968, il expose au Salon des peintres témoins de leur temps. Sa toile Mon huitième [archive], tableau familial d'une composition sereine et très colorée, est très remarquée. L’année suivante Henry illustrera Le Petit Chose, d’Alphonse Daudet (Ed. P. Fanlac, 1969) 11 à la demande des Œuvres des pupilles de l’enseignement public. Cette année verra aussi le début de son travail d'initiateur et d'organisateur de salons de peinture (triade 68).

Une première rétrospective de son œuvre est organisée en 1971 au musée municipal des Sables-d'Olonne.


Il est nommé chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres en 1976 12. Pendant plusieurs années, il sera l'organisateur de ce salon avec François Villatte. Le prix Charles Milcendeau lui est décerné en 1978 et, cette même année, une deuxième rétrospective lui est consacrée au palais des Congrès de Saint-Jean-de-Monts.


De 1980 à 1982, à la demande du maire de Saint-Hilaire-de-Riez (Vendée), Henry réalise six grandes toiles qui parent les murs de l’église.

Henry Simon meurt le 27 février 1987 à Saint-Hilaire-de-Riez. Il laisse une œuvre féconde et authentique, souvent inondée de lumière et imprégnée de bonheur.


Dimensions: sans cadre : 48 cm x 62 cm
avec cadre 75 cm x 87 cm

Elle est signée en bas à droite et doit dater des années 1910-1920.
et présentée sous verre

.
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la remise des charrettes
La remise des charrettes
Aquarelle
49 x 64 cm
Estimation: 1 000 € - 1 500 €
Prix au marteau: 3 100 €
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Kaczorowski (S.V.V.)
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Le port de Saint Gilles
Aquarelle, gouache/papier
50 x 65 cm
Prix au marteau: 1 800 €
17/04/2009
SARL GIRARDOT
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Demoiselle d'Apremont
Aquarelle/papier
49 x 64 cm
Prix au marteau: 1 677 €
17/03/2000
Raynaud
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Intérieur vendéen
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48,5 x 53 cm
Prix au marteau: 1 450 €
20/06/2002
Kaczorowski
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Utgave
Unik
Æra
1900-2000
Solgt av
Galleri
Kunstner
Henry SIMON (1910-1987)
Tittel på kunstverk
le déjeuner sur l'herbe
Teknikk
Blekk
Signatur
Signert for hånd
Opprinnelsesland
Frankrike
Tilstand
Glimrende tilstand
høyde
75 cm
Width
87 cm
Depth
8 cm
Solgt med ramme
Ja
Periode
1910–1920

123 tilbakemeldinger (%feedback_total} de siste 12 måneder)
  1. 112
  2. 5
  3. 3

Bonjour. Colis reçu très bien protégé. Superbe mais manque de luminosité par rapport aux photos. Je pense qu'un nettoyage s'impose. Merci.

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user-2fe8e5a

In goede orde ontvangen Bedankt

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user-e21a31c772cc

Snelle bezorging en uiterst zorgvuldig verpakt. Leuk schilderij en prachtig ingelijst . Een dochter is er nu heel blij mee!

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fep16

Merci Simple, rapide et efficace

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user-0695dff57d1a

Mon vendeur a été très compréhensif et professionnel, il a accepté de retarder l envoi car j étais en vacances Le tableau était bien protégé et il est fidèle à l annonce. Merci pour mon bel achat!

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user-386eeb9

Door bewust overmatige belichting tijdens het fotograferen tonen de foto's een zeer kleurrijk , weliswaar naïef, maar toch levendig werk. Het blijkt bij uitpakken echter dof, donker en glansloos.

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pdev

Sehr schönes Bild - genau wie beschrieben - alles perfekt - gerne wieder :-):-):-)

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user-6bea417

Obraz dostarczony. Przedmiot zgodny z opisem. Dziękuję

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user-03701b8

Thank you for the good handling. The picture has arrived safely. We will be happy to buy from you again.

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user-3df38ba6d2c5

Très beau tableau. Les photos donnent un très bon rendu des couleurs. Par contre, la toile est arrivée avec un impact au cours du transport. Il m'a fallu retendre la toile à cet endroit. Cordialement

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user-a64d6a364e87

Beautiful painting, very flexible about meeting for the transfer, many thanks Bernard 🙏

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Clint-Westwood

snel ontvangen, accurate omschrijving

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user-63a798ad0402

everything impeccable. thank you, it was a pleasure to collaborate

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user-48d0dc2c0727

It arrived in good condition , it was very well protected for the journey , Merci beaucoup

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user-831e84b53cc3

Bellissimo dipinto. Molto soddisfatto. Grazie

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user-67b76e90d7ed

Had iets meer vulmateriaal in de doos gekund en een sterkere doos! Beeldje was gelukkig flink omwikkeld met bubbelfolie!Gereinigd en in de was gezet ! Staat op de schouw te pronken! Helemaal blij!

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user-ec6d93dcb909

ja maar de genoemde kosten in de aanbieding blijken ongeveer25 euro hoger dan ik heb betaald aan Catawiki. Hoe komt dat ??

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user-08954d3
Selgers tilbakemelding

Ja, de verzendkosten bedragen 26 euro en de kosten voor Catawiki bedragen 21,24 euro (9% + 3 euro) Vriendelijke groeten. Bernard

Item as described, very friendly communication, and prompt delivery. Thank you!

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user-d52762e
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