Impression pigmentaire unique et signée de Julio Le Parc (1928). Format : 115 x 180 mm Année : 2013 Cette œuvre a été créée pour le livre "Voleur de paroles" édité par les éditions jannink dans la collection "L'art en écrit". Le livre est joint à l'œuvre - 48 pages, broché, jaquette, publié en 2013, tirage de 285 exemplaires, 12,5 x 21 cm. Dans ce livre, Julio Le Parc égratigne le milieu artistique en se mettant dans la peau de commentateurs imaginaires : critique, marchand, artiste raté... ​Né en Argentine en 1928, Julio Le Parc vit et travaille en France. Co-fondateur en 1960 à Paris du Groupe de Recherche d’Art Visuel (GRAV) avec Horacio Garcia Rossi, Francisco Sobrino, François Morellet, Joël Stein et Jean-Pierre Vasarely (Yvaral), Julio Le Parc est une figure majeure de l’art cinétique et contemporain. Ses premières peintures étaient influencées autant par le movement Arte Concreto Invención, que par le travail de Piet Mondrian ou de Victor Vasarely. Depuis 1959, Le Parc poursuit sa propre voie en appliquant des principes rigoureux à ses peintures, que ce soit pour explorer l’utilisation d'échelles de couleurs ou de combinaisons infinies. À partir de 1960, Le Parc a produit des peintures fondées sur des systèmes rigoureux d’organisation des surfaces, des corrélations de formes, ainsi que des reliefs vibratoires et des installations immersives. Il s’est depuis longtemps intéressé à la participation du public et à l’instabilité de la perception, ouvrant la voie à d’importants travaux autour de la lumière et du mouvement en art. Le Parc s’intéresse à la relation entre l'œuvre d’art et le spectateur, le visiteur n’étant plus un observateur passif et indépendant, mais le participant actif à une expérience interactive. Julio Le Parc a reçu le Grand Prix International de peinture (International Grand Prize of Painting) à la 33ème Biennale de Venise en 1966. Défenseur des droits de l’Homme, il s’est battu contre la dictature en Amérique Latine aux côtés de nombreux collectifs antifascistes. Envoi soigné et assuré.