Flanders Tapestries - Tapestry - 100 cm - 128 cm - Vairumati Paul Gauguin
No. 92085383
Jolie tapisserie murale de ma collection privée issue des manufactures tapisseries des flandres (Belgique) en modèle horizontale, (128CMX100CM) dans un état de conservation irréprochable et qui reprend l'œuvre magistrale de Paul Gauguin celle ci vous sera emballé et envoyé par mes soins de collectionneur de longue date et ceci a votre convenance
Paul Gauguin réalise Vairumati lors de son second séjour à Tahiti, en 1897. On retrouve la même jeune femme et l'oiseau blanc dans la grande toile D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?. Elles seront d'ailleurs exposées toutes les deux à Paris en 1898 dans l'exposition que le marchand Ambroise Vollard consacre à l’artiste Le mythe de Vairumati
Gauguin raconte le mythe maori de Vairumati dans les ouvrages Ancien culte mahorie et Noa Noa : Oro, fils du dieu créateur Ta’aora, voulut prendre pour femme une jeune mortelle afin de fonder avec elle une race supérieure à l’homme. Ses sœurs, les déesses Haoaoa et Teuri, parcoururent les îles à la recherche d'une femme digne du Dieu. C’est à Bora Bora, près d’un lac, que le dieu fut charmé par la belle Vairumati. Chaque soir, le dieu descendait du ciel jusqu’à Vairumati par un arc-en-ciel. De leur union naquit Rai Hoa Tapu qui fonda la société des Aréois, une secte autrefois très influente et vénérée à Tahiti dont les mœurs choquèrent profondément les premiers européens arrivés dans les îles.
Jolie tapisserie murale de ma collection privée issue des manufactures tapisseries des flandres (Belgique) en modèle horizontale, (128CMX100CM) dans un état de conservation irréprochable et qui reprend l'œuvre magistrale de Paul Gauguin celle ci vous sera emballé et envoyé par mes soins de collectionneur de longue date et ceci a votre convenance
Paul Gauguin réalise Vairumati lors de son second séjour à Tahiti, en 1897. On retrouve la même jeune femme et l'oiseau blanc dans la grande toile D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?. Elles seront d'ailleurs exposées toutes les deux à Paris en 1898 dans l'exposition que le marchand Ambroise Vollard consacre à l’artiste Le mythe de Vairumati
Gauguin raconte le mythe maori de Vairumati dans les ouvrages Ancien culte mahorie et Noa Noa : Oro, fils du dieu créateur Ta’aora, voulut prendre pour femme une jeune mortelle afin de fonder avec elle une race supérieure à l’homme. Ses sœurs, les déesses Haoaoa et Teuri, parcoururent les îles à la recherche d'une femme digne du Dieu. C’est à Bora Bora, près d’un lac, que le dieu fut charmé par la belle Vairumati. Chaque soir, le dieu descendait du ciel jusqu’à Vairumati par un arc-en-ciel. De leur union naquit Rai Hoa Tapu qui fonda la société des Aréois, une secte autrefois très influente et vénérée à Tahiti dont les mœurs choquèrent profondément les premiers européens arrivés dans les îles.