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Se oversættelseARISTOPHANE - ΚΩΜΩΔΙΑΙ ια' Aristophanis comoediae undecim, graece & latine, cum indice paroemiarum selectiorum, et - 1624
Nr. 90939877
ΑΡΙΣΤΟΦΑΝΟΥΣ - ARISTOPHANIS
ΚΩΜΩΔΙΑΙ ια' Aristophanis comoediae undecim, graece & latine, cum indice paroemiarum selectiorum, et emendationibus virorum doctorum praecipue Josephi Scaligeri. Accesserunt praetera Fragmenta ejusdem ineditarum comoediarum Aristophanis.
Lugduni Batavorum, Ex officina Joannis Maire, 1624, in-12 de 11ff.-935pp., plein vélin à rabat époque, titre manuscrit en grec au dos, impression grec avec sa traduction latine, fente interne au premier feuillet.
Édition avec les notes de Scaliger, publiée à titre posthume en 1624 par Maire à Leiden, cette édition. Que Scaliger, un homme à la langue acérée et qui avait de nombreux ennemis, ait été un admirateur du dramaturge comique n’est pas étonnant. L'épigramme suivante peut être lue dans l'introduction du texte de Scaliger de 1624 : Ut templum Charites quod non labatur, haberent,/ invenere tuum pectus Aristophane (Les Grâces se sont trouvé un temple qui ne tomberait pas, ton sein, Aristophane). Les notes de Scaliger proviennent de deux éditions imprimées appartenant autrefois au grand homme lui-même et fournies pour publication par l'érudit néerlandais G.J. Vossius, 1577-1649 et les traductions sont de Nicodemus Frischlinus, Florens Christianus, Andreas Divus, G. Canterus.
ΑΡΙΣΤΟΦΑΝΟΥΣ - ARISTOPHANIS
ΚΩΜΩΔΙΑΙ ια' Aristophanis comoediae undecim, graece & latine, cum indice paroemiarum selectiorum, et emendationibus virorum doctorum praecipue Josephi Scaligeri. Accesserunt praetera Fragmenta ejusdem ineditarum comoediarum Aristophanis.
Lugduni Batavorum, Ex officina Joannis Maire, 1624, in-12 de 11ff.-935pp., plein vélin à rabat époque, titre manuscrit en grec au dos, impression grec avec sa traduction latine, fente interne au premier feuillet.
Édition avec les notes de Scaliger, publiée à titre posthume en 1624 par Maire à Leiden, cette édition. Que Scaliger, un homme à la langue acérée et qui avait de nombreux ennemis, ait été un admirateur du dramaturge comique n’est pas étonnant. L'épigramme suivante peut être lue dans l'introduction du texte de Scaliger de 1624 : Ut templum Charites quod non labatur, haberent,/ invenere tuum pectus Aristophane (Les Grâces se sont trouvé un temple qui ne tomberait pas, ton sein, Aristophane). Les notes de Scaliger proviennent de deux éditions imprimées appartenant autrefois au grand homme lui-même et fournies pour publication par l'érudit néerlandais G.J. Vossius, 1577-1649 et les traductions sont de Nicodemus Frischlinus, Florens Christianus, Andreas Divus, G. Canterus.
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